Réf.
2022/ATGEDR/7931
Type d'offre
Poste terrain
Type de contrat
Contrat de prestation de services
Secteurs d'activité
Climat et Agriculture ; Genre, droits et modernisation de l'Etat
Date limite de candidature
08/06/2022 16:28
Durée de la mission
Expertise perlée
Contrat
Indépendant / Entrepreneur Individuel
Durée
10 jours par mois pendant 24 mois
Département Gouvernance, Justice et Droits Humains - GJDH > Pôle Genre, Migration et Droits Humains
Mis en ligne le : 25/05/2022
L'assistance technique recouvre deux volets, détaillés ci-dessous. Chacun des volets comporte une partie de diagnostic et une partie de mise en œuvre.
Ici sera détaillé le rôle de l’AT sur la composante 1 du projet en ce qui concerne les activités à proprement parler, l’intégration du genre sera détaillée par la suite.
L’AT aura un rôle d’accompagnement des équipes d’A2N sur cette composante 1 du projet, avec la pleine participation des bénéficiaires. Il s’agira en particulier de :
Périmètre maraicher :
Appui/mise en place de 4 unités de transformation agricole
La promotion d’une chaîne de valeurs, entre les Sociétés Coopératives de Production (SCOP) féminines, regroupant à la fois des populations hôtes et déplacées
Points d’attention :
Méthodologie : Il conviendra de proposer une méthodologie d’intervention qui réponde aux activités décrites plus haut en intégrant la prise en compte du genre à tous les niveaux.
La démarche adoptée auprès des acteurs sera de type participative, devra être explicitée et justifiée.
Le tableau ci-dessous présente les questionnements importants à intégrer facilitant la prise en compte des besoins spécifiques des hommes et des femmes afin d’y adapter les activités du projet.
Les éléments décrits sont non exhaustifs, l’AT devra utiliser son expertise pour enrichir et/ou modifier ces questionnements, permettant d’intégrer au mieux l’approche genre dans le projet.
Etape projet / Activités |
Rôle de l’AT |
Diagnostic |
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Aménagement du périmètre maraicher au profit des femmes |
1. -Déterminer le profil socio-économique des femmes (et hommes s’il y en a) qui y travaillent (dont hôtes ou PDI/intersectionnalité) 2. -Déterminer les rôles des femmes et des hommes (s’il y en a) dans l’exploitation du périmètre maraicher existant et les pouvoirs déterminants associés respectivement (ex : contrôle quelconque ?) / Est-ce que ce sont toujours à la fois les femmes qui cultivent et qui vendent (division sexuée du travail) ? Comment sont répartis les bénéfices des ventes ? Les femmes disposent-elles librement des revenus qui découlent des ventes, si non, pourquoi ? 3. -Comprendre l’organisation/l’articulation du travail entre femmes sur le périmètre maraicher 4. -Identifier les besoins spécifiques des femmes à la fois sur le périmètre, dans le travail en lui-même et dans l’articulation avec les charges familiales qu’elles supportent (contraintes, etc.) 5. Ont-elles des besoins de financements/crédits ? y ont-elles accès (seules ou en groupement), quelles sont les contraintes spécifiques auxquelles elles font face ? 6. -Identifier/anticiper les besoins spécifiques qui seront générés suite à l’amélioration du périmètre maraicher. L’augmentation de la production entre autres pourrait demander plus d’heures de travail aux femmes. Comment gérer cela avec les charges familiales ? comment éviter une surcharge sur les femmes ? comment intégrer les maris/chefs de famille au dialogue ? / Si plus de terres cultivables, comment gérer l’intégration de nouvelles femmes sur le périmètre, notamment des PDI peut-être, quelle organisation, quelle entente ? 7. -Pour chacun des points précédents (et ceux que vous identifierez), identifier les activités, mesures d’adaptation/d’atténuation à mettre en œuvre par le projet pour une bonne prise en compte des enjeux de genre 8. -Identifier 1 ou 2 indicateurs SMART désagrégés par sexe (si pertinent) complémentaires à ceux déjà déterminés pour le projet, facilement mesurables, permettant de mettre en valeur l’évolution des inégalités de genre ou amélioration des conditions de travail/vie/revenus des femmes par exemple. |
Appui à 4 unités de transformation agricoles existantes ou à mettre en place |
Appui au diagnostic préalable des unités de transformation en intégrant le genre : 9. -Déterminer le profil socio-économique des femmes (et hommes s’il y en a) qui y travaillent (dont hôtes ou PDI/intersectionnalité) 10. -Historique de création de groupement, quels membres (typologie/prise en compte de l’intersectionnalité), quelle organisation dans la gestion et dans le financement de l’activité (accès au crédit et comment, quelles difficultés.), quels rôles spécifiques attribués en fonction du profil socio-économique/éducation des femmes (présidente, secrétaire, trésorière, transformatrices, etc.), 11. -Présence d’hommes en permanence ou en appui => quel rôle, à quel moment, quel type/degré de pouvoir ?, 12. - Les femmes contrôlent-elles leurs revenus ? quelles difficultés à ce niveau ou mesures d’adaptation mettent-elles en place ? 13. -Compréhension du processus et des étapes de transformation, des acteurs en amont et en aval de la filière et aspects positifs et difficultés rencontrés à ces niveaux, description des acteurs, de leur rôle et de leurs pouvoir/influence sur le groupement 14. -Etat des lieux des biens du groupement : ce qui fonctionne / les difficultés rencontrées, d’autres soutiens accordés par d’autres organisations ou dispositifs étatiques ou communaux et le bilan éventuel ?, 15. -Identification des besoins spécifiques des femmes à la fois dans leur activité de transformation, dans la gestion, besoins en formation (technique, gestion/gouvernance des SCOP, entrepreneuriat), mais aussi dans l’articulation avec leur vie quotidienne (gestion des enfants, gestion du temps, charge de travail, relation avec leur époux/chef de famille, gestion de la famille si elles sont chef de famille et seules/perception de la communauté par rapport à leur activité) 16. -Identifier ces mêmes besoins spécifiques dans la perspective d’un accroissement de l’activité de la SCOP 17. -Dans cette même perspective d’accroissement, identifier les enjeux et les mesures à mettre en place pour une bonne intégration de nouvelles personnes dans la SCOP, quelles soient hôtes ou PDI 18. -Identifier les possibilités d’organisation/d’union entre SCOP, à la fois existante ou à mettre en place si ce n’est pas le cas, qui pourrait I. valoriser la production et améliorer le marché et II. Augmenter la visibilité, la représentation, des femmes transformatrices à plusieurs échelles, pour défendre leurs intérêts. 19. -Pour chacun des points précédents (et ceux que vous identifierez), identifier les activités, mesures d’adaptation/d’atténuation à mettre en œuvre par le projet pour une bonne prise en compte des enjeux de genre 20. -Identifier 1 ou 2 indicateurs SMART désagrégés par sexe (si pertinent) complémentaires à ceux déjà déterminés pour le projet, facilement mesurables, permettant de mettre en valeur l’évolution des inégalités de genre ou amélioration des conditions de travail/vie/revenus des femmes par exemple. |
Promotion d’une chaine de valeurs entre les SCOP féminines regroupant les populations hôtes et déplacées |
21. -Appui à l’état des lieux des relations/échanges déjà existants ou non entre les SCOP féminines 22. -Appui à l’identification des besoins spécifiques des femmes dans la chaine de valeurs envisagée, en prenant en compte l’intersectionnalité, en particulier si hôtes ou PDI 23. -Identifier les fonctions/métiers futurs créés par la chaine de valeurs et apprécier ceux occupés par les hommes, les femmes, et les différents types de pouvoir associés ou non (décision, économique, etc.), apprécier s’il y a une reproduction de la division sexuée du travail ou bien si les femmes occupent toutes les fonctions/décisions 24. -Pour chacun des points précédents (et ceux que vous identifierez), identifier les activités, mesures d’adaptation/d’atténuation à mettre en œuvre par le projet pour une bonne prise en compte des enjeux de genre 25. -Identifier 1 ou 2 indicateurs SMART désagrégé par sexe (si pertinent) complémentaires à ceux déjà déterminés pour le projet, facilement mesurable, permettant de mettre en valeur l’évolution des inégalités de genre ou amélioration des conditions de travail/vie/revenus des femmes par exemple. |
Mise en œuvre |
26. -Appuyer A2N à l’intégration des actions et/ou mesures d’atténuation dans les activités permettant d’intégrer le genre à toutes les étapes du projet en fonction du diagnostic précédent |
Suivi |
27. -Réaliser un suivi rapproché des activités, en lien étroit avec les équipes d’A2N, auprès des bénéficiaires, afin de détecter les éventuelles difficultés rencontrés/les résultats encourageant pour proposer les actions/mesures d’adaptation/correction 28. -Alerter A2N sur les difficultés rencontrées, sur les éventuels effets négatifs imprévus et proposer des mesures de correction/d’atténuation au fur et à mesure 29. -Appuyer A2N dans la collecte des indicateurs spécifiques genre définis lors du diagnostic 30. -Renforcer les capacités de/de la chargé.e de suivi/évaluation du projet sur la prise en compte du genre |
Evaluation |
31. -Appuyer à l’intégration de la question du genre dans les TDRs des évaluations qui seront réalisées 32. -Faire évoluer la feuille de route (théorie du changement), en collaboration avec l’équipe projet d’A2N, de la composante 1 du projet au fil de l’eau, afin de réaliser une évaluation continue de la prise en compte des enjeux de genre |
POINTS D’ATTENTION L’AT veillera à identifier les potentiels effets contreproductifs du projet qui pourraient nuire entre autres aux conditions de vie des femmes dont (non exhaustif) : - L’augmentation de la charge mentale et de la charge de travail, le temps étant souvent une variable d’ajustement pour les femmes - Les effets négatifs sur l’entourage : déscolarisation des jeunes filles due à moins de présence des femmes au sein du foyer, sans pour autant que les tâches ne diminuent - Création d’emploi pour les hommes et perte d’emploi pour les femmes due à la mécanisation des processus de production, en lien avec la division sexuée du travail - Renforcement de la division sexuée du travail - Augmentation des tensions dans les foyers, voire des violences conjugales - Désengagement des hommes dans les charges/responsabilités du foyer suite à l’augmentation des revenus des femmes, ce qui en définitive n’améliore pas les conditions de vie - Exclusion des femmes de certaines sphères sociales, marginalisation
L’AT veillera à prendre en compte au mieux l’intersectionnalité des profils des bénéficiaires dans le projet et d’adapter l’intervention en fonction, mais également d’autres aspects comme la mobilité des femmes, l’accès à l’information, les éventuelles freins légaux ou socio-culturels à l’entrepreneuriat féminin, etc. L’AT suggèrera, au-delà de la satisfaction des besoins pratiques des femmes (résolution des besoins immédiats et amélioration des conditions de vie), des mesures/actions permettant d’engager des processus d’atteinte d’intérêts stratégiques (changement structurels de long terme en faveur de plus d’égalité femmes-hommes). Veiller à inclure les hommes le plus possible, notamment s’ils souhaitent s’investir dans le projet, tout en faisant attention aux fonctions occupées et à la division sexuée du travail. L’engouement de certains hommes qui pourraient travailler aux côtés des femmes dans les unités de transformation peut être un réel atout auprès des autres hommes.
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Il est également attendu que l’AT renforce les capacités du personnel d’A2N sur la prise en compte du Genre de manière transversale dans ces projets et dans l’organisation pour permettre une bonne compréhension des enjeux et une mise en œuvre optimale sur le terrain. Ce renforcement sera précédé d’un rapide diagnostic sur ce qu’est, pour le personnel d’A2N, la prise en compte du genre (dans les projets et au sein de l’organisation même). A noter que l’AFD a récemment développé un module de formation « Genre et Développement » libre d’accès, qui peut être une ressource à exploiter.
Livrables
Il est attendu les livrables suivants :
Il communiquera également à l’AFD la théorie du changement sur la composante activités économiques réalisée avec A2N. Cette théorie du changement sera mise à jour tous les 2 mois et sera transmise à l’AFD et A2N pour information.
L’Agence de l’AFD à Ouagadougou, en collaboration avec la Direction régionale Grand Sahel souhaite approfondir et améliorer son approche visant à réduire les inégalités de genre, dans la droite ligne de la stratégie 100% lien social de l’AFD, où la réduction des inégalités femmes-hommes en est un marqueur fort.
La prise en compte des besoins spécifiques des femmes et des hommes semble d’autant plus importante dans le contexte burkinabè où de nombreuses personnes font face aux violences, aux conflits les forçant notamment à quitter leur lieu de vie, leurs biens, leurs terres et à se déplacer, pour beaucoup démunis, dans d’autres régions ; les femmes et les jeunes filles étant particulièrement vulnérables dans ces contextes complexes, du fait des inégalités de genre déjà préexistantes.
L’agence de Ouagadougou a donc souhaité mobiliser une assistance technique sur son projet de préservation de la coexistence pacifique dans la commune de Dori, sur le volet appui aux opportunités économiques pour les personnes hôtes et déplacées internes, en particulier les femmes.
Le bénéficiaire
L’association A2N est le récipiendaire d’un financement AFD, dont l’objet est détaillé ci-dessus. A2N a pour objectif général de : « Contribuer à un meilleur équilibre du patrimoine foncier et écologique par la valorisation des initiatives communautaires ».
Pour atteindre l’objectif qu’elle s’est assigné, A2N met au cœur de son projet associatif le genre et l’équité sociale. Elle met au centre de ses interventions les besoins fondamentaux et les intérêts des femmes, des jeunes, des « groupes minoritaires » et des personnes vivant avec un handicap à travers une approche participative et inclusive.
A travers l’appui de l’expertise recherchée, A2N entend profiter pour contextualiser son approche au contexte de crise et de fragilité auquel les populations locales, plus spécifiquement les femmes, les jeunes filles et les personnes vulnérables sont confronté actuellement.
A2N attend de cet appui de pouvoir développer une approche plus adaptée au contexte actuel pour mieux organiser ses interventions envers les femmes et les jeunes filles.
Le projet DJAMNAATI
Le projet « Djamnaati » vise à contribuer à la préservation de la coexistence pacifique dans la commune de Dori. Le concours s’élève à 1 500 000€ en subvention, sur une durée de 3 ans. Le projet sera mis en œuvre par l’ONG locale A2N (Association Nodde Nooto), sous le pilotage de la Mairie de Dori.
L’assistance technique sollicitée se concentrera en priorité sur l’objectif spécifique 1 relatif à l’accès aux opportunités économiques. Elle pourra également porter sur les objectifs 2 et 3. La finalité du projet est de contribuer à la préservation de la coexistence pacifique des populations hôtes et déplacées dans la commune de Dori. Plus précisément, le projet se décompose en 3 objectifs :
OS 1 - L’amélioration de l’égalité d’accès aux opportunités économiques et aux services de base dans les 3 quartiers de la ville de Dori accueillant la majorité des personnes déplacées.
Contexte : l’agriculture et l’élevage sont les principales activités exercées par les populations de la commune de Dori. Elles constituent l’essentiel des sources de revenus pour les populations locales et plus spécifiquement pour les femmes. Cependant, les productions agro-pastorales des populations ne sont pas suffisamment valorisées pour servir de vecteur d’autonomisation économique. Cela est dû notamment au caractère rudimentaire des moyens de production, de conservation et de transformation dont disposent les populations. Les petites unités de transformation (lait, tomates, savon, etc.) existantes, essentiellement promues par des Sociétés Coopératives de Production (SCOP) et féminines, restent aujourd’hui des unités peu professionnalisées et dont le potentiel de croissance est limité, en raison d’insuffisance d’équipements, de compétences et de gestion.
Les activités proposées viseront à développer les capacités d’unités de transformation, permettant de participer à la création d’emplois. Elles interviendront auprès des femmes, identifiées comme particulièrement vulnérables et qui développent le type d’activités proposées. Elles combineront systématiquement des populations hôtes et déplacées (incitation indirecte à constituer des unités de transformation intégrant à la fois des populations hôtes et déplacées; organisation d’activités conjointes comme des formations) selon une logique de filière, permettant de mettre en relation les différents maillons d’une chaine, sur un produit donné.
Au niveau de ces 3 quartiers de la ville de Dori, le projet permettra notamment d’accompagner :
Ce périmètre maraicher est situé à la lisière du périmètre urbain, voisin du quartier de Wendou et permet la production de tomates, laitues, carottes, aubergines. C’est un site carrefour qui est aménagé sommairement autour d’un bouli maraîcher, aujourd’hui ensablé, ce qui l’empêche de développer tout son potentiel. Plus de 200 femmes des villages de Diomga et de Wendou y travaillent, soit à la production soit à la commercialisation, dans les marchés environnants, notamment ceux de Dori, Wendou, Petit Paris, Groom, Essakane. L’aménagement englobera différentes activités : désensablement du bouli, amélioration de l’aménagement des parcelles, accès à l’eau, équipements, formation en techniques de production. Il permettra i) de dégager des parcelles supplémentaires au profit des femmes PDI de Wendou et ii) d’améliorer la production, qui devrait être destinée notamment à alimenter les unités de transformation soutenues par ailleurs (voir infra).
Le projet financera également la réhabilitation ou extension de services sociaux dont les conditions et capacités d’accueil sont saturées du fait de la présence de nombreuses personnes déplacées : réhabilitation d’une école et d’un centre de santé, et extension d’une école.
OS 2 - La réduction des conflits liées aux ressources naturelles autour des 3 zones pastorales de la commune, qui concentrent la majorité de ces conflits à l’échelle de la commune.
Le projet accompagnera notamment i) le fonctionnement des instances locales de gestion foncière prévues par la loi de référence de 2009 sur le foncier rural (commissions foncières villageoises et commissions de conciliation foncière villageoise, qui doivent constituer des espaces de dialogue et de médiation de nature à réduire les tensions autour de la terre, et permettre à terme la délivrance d’attestations de propriété foncière), ii) le démarrage du service domanial de la mairie, en cours de création, destiné à traiter les sujets fonciers, iii) la viabilisation de l’un des 3 espaces à vocation pastorale de la commune (Ceekol Nagel), permettant de sécuriser des espaces pastoraux dans un contexte d’augmentation rapide des surfaces agricoles.
OS 3 - L’amélioration des capacités d’action de la mairie et de l’ONG A2N.
Indicateurs du projet pour la Composante principale de l’appui technique (composante 1) :
Serait un plus
La mission aura lieu à Dori (Burkina Faso). L'expert.e devra obligatoirement être résident.e à Dori.
S'agissant d'une zone présentant un niveau d’insécurité fort avec les contraintes associées, notamment en matière de limitations et d’encadrement des déplacements à l’intérieur, le/la candidat.e s'engage à respecter les consignes de sécurité communiquées par EF. Le/la candidate devra obligatoirement se rendre à Ouagadougou afin d'effectuer une formation Gestion de risque en mission.
Pendant toute la durée de la mission et les deux (2) ans suivant son achèvement, l’expertise mobilisée sera tenue de respecter une stricte confidentialité vis-à-vis des tiers pour toutes les informations relatives à la mission ou recueillies à l'occasion de celle-ci. Aucune reproduction ou diffusion des rapports de mission n'est autorisée.
Expertise France est l’agence publique de conception et de mise en œuvre de projets internationaux de coopération technique. L’agence intervient autour de quatre axes prioritaires :
Dans ces domaines, Expertise France assure des missions d’ingénierie et de mise en œuvre de projets de renforcement des capacités, mobilise de l’expertise technique et joue un rôle d’ensemblier de projets faisant intervenir de l’expertise publique et des savoir-faire privés.