Réf.
2024/EFDPMYW/12249
Type d'offre
Experts
Type de contrat
Contrat de prestation de services
Domaines d'expertises
Suivi et évaluation ; Justice
Date limite de candidature
10/12/2024 10:31
Durée de la mission
Court terme
Contrat
Indépendant / Entrepreneur Individuel
Durée
25 jours
Département Géographique - GEO > DP Comores
Mis en ligne le : 21/11/2024
Objectifs de la mission
Raison d’être et objectifs de l’évaluation
Dans le cadre des exigences de redevabilité du projet Mahakama Ya Wusawa et de la politique interne d’Expertise France d’amélioration des interventions présentes et futures, les différentes parties prenantes du projet ont convenu lors de la conception de ce dernier de réaliser une évaluation externe finale.
Celle-ci doit permettre d’améliorer les performances de projets futurs comparables ciblant le secteur de la Justice.
Objectifs et attentes générales de la mission
Cette évaluation a pour principal objectif de fournir au Ministère de la Justice et à l’Université des Comores, à l’agence Expertise France (équipes terrain et siège) et à l’AFD :
De façon spécifique, cette évaluation fournira des éléments d’appréciation sur les effets du projet et sa viabilité dans le domaine du renforcement du secteur de la Justice aux Comores.
Le.s évaluateur.rice.s. devra.ont fournir les éléments de preuves expliquant les analyses, les liens de cause à effet et tenter d’identifier les facteurs ayant généré ou entravé la mise en œuvre du projet. Leur travail doit encourager la responsabilisation, la prise de décisions, et l’apprentissage.
Périmètre de l’évaluation
L’évaluation portera sur les éléments suivants :
Période : ensemble de la période de mise en œuvre du projet Mahakama Ya Wusawa ;
Composantes : toutes les composantes ;
Pays : Union des Comores ;
Bénéficiaires : Ministère de la Justice des Comores, Université des Comores, AFD et Expertise France.
L’évaluation utilisera les critères définis par le Comité d’Assistance au Développement (CAD) de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE) : pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et viabilité[1].
Le.s consultant.e.s devront en outre vérifier si les thématiques transversales suivantes (promotion des droits humain, égalité des genres et bonne gouvernance) ont été prises en compte lors de l’identification/la formulation des documents et à quel degré celles-ci se sont retrouvées dans la mise en œuvre et la supervision de l’action.
Les questions évaluatives détaillées ci-dessous ont été développées de manière participative au sein du groupe de pilotage. Elles seront revues par l’évaluateur au moment de la phase de démarrage de l’évaluation, afin de proposer une version finale dans la note de cadrage validée par le groupe de pilotage.
Critères d’évaluation |
Questions d’évaluation spécifiques |
Pertinence |
Dans quelle mesure les objectifs et l’approche du projet étaient-ils pertinents ? Dans quelle mesure le montage institutionnel du projet était-il pertinent ? Comment le projet s’est-il adapté au contexte pour rester pertinent ? |
Cohérence |
Le projet a-t-il pu développer des synergies avec d’autres interventions ou acteurs ? |
Efficacité |
Dans quelle mesure les résultats attendus de l’intervention ont-ils été atteints ? Quels sont les facteurs qui ont eu un impact positif ou négatif sur la réalisation des activités initialement prévues ? |
Efficience |
La gestion du projet telle qu’elle a été mise en place (ressources humaines, partage des rôles et responsabilités, organigramme, interactions, arbitrages financiers en lien avec les choix stratégiques) a-t-elle été optimale pour atteindre les résultats ? Les ressources du projet ont-elles été utilisées à bon escient ? |
Impact |
Dans quelle mesure le projet a-t-il produit des changements (positifs ou négatifs, souhaités ou non) et, en fin de compte, contribué à progresser vers l’objectif spécifique et l’impact attendus ? |
Viabilité |
Est-ce que la viabilité a été correctement prise en compte par le projet dans ses différentes phases ? Quelles sont les perspectives de durabilité du projet et comment les renforcer ? |
Transverses |
Dans quelle mesure le genre, les droits humains et la bonne gouvernance ont-ils été pris en compte dans les activités et la gestion du projet ? Quelles sont les leçons apprises et les bonnes pratiques du projet ? |
Les consultant.e.s devront impérativement fournir un jugement de valeur sur chacune des questions d’évaluation soulevées par l’examen des critères. Dans le cadre de cette analyse, le(s) consultant.e.s s’assureront que les jugements formulés pour chacun des critères d’évaluation permettent de recouvrer l’ensemble des étapes marquantes du cycle du projet.
Méthodologie de l’évaluation
L’évaluation sera réalisée entre les mois de janvier et de mars 2025 et devra être menée dans le strict respect des considérations « ne pas nuire », être sensible au genre et avoir une attention spécifique à la production de recommandations opérationnalisables.
Durant l’ensemble du processus, il est demandé au.x consultant.e.s d’associer étroitement Expertise France (le chef de projet, le.a chargé.e de projet, le référent SERA ainsi que le coordonnateur SERA) à la construction de son raisonnement, par des liens réguliers tout au long de la mission, de la note de cadrage jusqu’à la réunion de présentation du rapport final. En particulier, un partage des constats et des premiers éléments d’analyse doit se faire dès la fin de la mission, avec la rédaction d’un rapport intermédiaire.
Dans les échanges réguliers avec le.s consultant.e.s, Expertise France représentera le groupe de pilotage.
Phase de démarrage
Au cours de cette phase préparatoire, le.s consultant.e.s doivent :
En lien avec ce dernier attendu, il s’agira plus spécifiquement : (i) de préciser les principales questions qui serviront à focaliser le travail d’évaluation sur un nombre restreint de points clés; (ii) d’établir les étapes du raisonnement qui permettront de répondre aux questions (critères de jugement) ; (iii) de préciser les indicateurs à utiliser pour répondre aux questions et les sources d’informations correspondantes (documentation, entretiens, focus group, enquêtes, …).
À partir de ce travail méthodologique le consultant proposera une note de cadrage incluant :
Ce cadrage fera l’objet d’un échange préalable entre le groupe de pilotage et le.s consultant.e.s et permettra de discuter avec le.s consultant.e.s de la manière dont il.s ou elle.s entendent structurer la démarche évaluative et d’en vérifier la faisabilité. La note de cadrage fera également l’objet d’une restitution au groupe de pilotage.
En cas de reconstitution de la logique d’intervention, il convient de s’assurer que les objectifs redéfinis par l’évaluateur sont bien partagés par le groupe de pilotage.
Cette phase préparatoire est clé et la note de cadrage devra être formellement validée avant le début de la phase de collecte.
Les ressources à exploiter pour cette phase sont (liste non-exhaustive) :
Phase de collecte
Lors de cette étape, le ou les consultant.e.s poursuivront l’analyse des données secondaires via les suites de l’analyse documentaire. Il.s ou elle.s procéderont à la collecte de données primaires.
Cette collecte se fera essentiellement via une mission terrain à Moroni d’une durée de 6 jours, prévue avant la fin du mois de février 2025. Le déroulé de cette mission devra être décrit dans un programme partagé avec le groupe de pilotage pour validation. Le groupe de pilotage appuiera et facilitera l’organisation de cette mission (mise en contact, présentation de l’évaluation, fourniture de coordonnées, etc.).
La collecte de données inclura l’utilisation de méthodes de collecte qualitatives et quantitatives dont, par exemple (au moins trois méthodes différentes et complémentaires doivent être mentionnées dans l’offre technique) :
À la fin de mission terrain, une réunion de restitution à chaud des résultats préliminaires suite à la phase de collecte devra être réalisée auprès du groupe de pilotage. Un diaporama sera utilisé comme support.
Cette restitution à chaud permettra principalement :
Phase d’analyse et de reporting
1) Un rapport final provisoire
Un rapport final provisoire qui ne devra pas dépasser 40 pages hors annexes sera produit à l’issue des travaux complémentaires d’analyse et de contrôle qualité du ou des consultant.e.s.
Ce rapport final provisoire servira de support à une réunion entre l’équipe d’évaluation sélectionnée et le groupe de pilotage. Celle-ci permettra principalement :
Le rapport final provisoire devra être communiqué au groupe de pilotage au moins une semaine avant la réunion.
2) Un rapport final définitif accompagné d’une synthèse
Un rapport définitif, intégrant les observations du groupe de pilotage et recommandations identifiées ainsi qu’une synthèse, sera par la suite produit par le.s consultant.e.s.
Si les observations faites expriment des différences d’appréciation non partagées par les consultants, celles-ci pourront être annexées au rapport définitif et commentées par les consultants.
Livrables attendus
Les livrables devront être soumis par email sous format Word aux destinataires qui seront indiqués à l’équipe d’évaluation lors de la phase de démarrage. Ils devront être rédigés en français.
Livrables |
# pages max. |
Date de livraison |
1- Note de cadrage (incl. Matrice d’évaluation) |
10 |
T0 + 2 semaines |
2- Rapport final provisoire incluant un résumé exécutif d’env. 4-6 pages |
40 |
T0 + 9 semaines (rapport provisoire) |
3- Rapport final définitif incluant un résumé exécutif et une fiche synthèse selon le format demandé par Expertise France |
40 |
T0+ 11 semaines (rapport définitif) |
En outre, un support de présentation type diaporama devra être produit pour chaque réunion de pilotage.
Pilotage de l’évaluation et gouvernance du projet
L’évaluation est gérée par Expertise France avec l’aide d’un groupe de pilotage (voir l’annexe 4).
Les fonctions principales des membres du groupe de pilotage de l’évaluation sont de:
Des réunions du comité sont prévues dans le cours de cette évaluation :
Modalités de coordination
Il est demandé au.x consultant.e.s d’associer étroitement le groupe de pilotage à la construction de son raisonnement, par des liens réguliers tout au long de la mission, de la note de cadrage jusqu’à la réunion de présentation du rapport provisoire. En particulier, un partage des constats et des premiers éléments d’analyse doit se faire dès la fin de la mission.
La prestation inclura une mission terrain. Les outils collaboratifs utilisés seront agréés par le projet sur proposition éventuelle du.es consultant.e.s.
Calendrier
La durée totale de la mission est estimée à 25 personnes/jours, entre les mois de janvier et d’avril 2025 telle que détaillée ci-dessous à titre indicatif :
Activités |
Lieu |
Période |
Durée (pers./j) [facultatif] |
1- Phase de démarrage |
- |
Compter 2 semaines |
5 |
2- Phase de collecte |
Union des Comores / distanciel |
Compter 1 mois |
10 |
3- Phase de reporting (incl. atelier de présentation du rapport provisoire) |
- |
Compter 3 semaines |
9 |
4- Phase de finalisation (incl. |
- |
Compter 2 semaines |
1 |
L’équipe d’évaluation sélectionnée devra proposer dans son offre un plan de travail détaillé incluant les jours travaillés par activité et par membre de l’équipe d’évaluation, ainsi que les dates et lieux indicatifs. Ce plan de travail sera discuté et validé lors de la réunion de démarrage.
Contexte général
Le secteur de la justice aux Comores est confronté à des contraintes importantes. L’accès à la justice, son indépendance, le traitement diligent des dossiers, l’exécution des décisions de justice, le respect des procédures et des règles de droit ne sont, en effet, pas systématiquement assurés. La coexistence entre différents systèmes de justice parfois contradictoires – droit commun, loi islamique et droit coutumier – peut, de plus, entraîner de la confusion dans l’application des lois. La défiance vis-à-vis de la justice de la part des justiciables est significative, de même que l’insécurité juridique.
Le besoin de renforcement des capacités du système de justice a été soulevé comme un des principaux enjeux par les acteurs du secteur privé lors des consultations menées en 2019 par la Banque mondiale pour le cadre de partenariat-pays 2020-2024. La modernisation de ce secteur s'avère en effet indispensable pour regagner la confiance des citoyens dans le système judiciaire, promouvoir le respect des droits humains et la lutte anti-corruption, et offrir à l'économie nationale un environnement plus transparent et propice aux affaires.
Dans le cadre du Fonds de Solidarité pour les Projets Innovants (FSPI) « Soutien au secteur de la Justice aux Comores/COMJUS » (2019-2021), piloté par l’Ambassade de France et mis en œuvre par Justice Coopération Internationale (JCI) puis par Expertise France, un appui important a été apporté pour la réalisation d’un diagnostic du secteur, suivi de la mise en œuvre de cycles de formation continue au bénéfice notamment des magistrat.e.s, greffier.e.s, avocat.e.s, huissiers et acteurs du foncier comorien. Les premiers ont bénéficié de 8 sessions de formation en 2020/2021, avec un fort accent mis sur la déontologie de la profession. La crise sanitaire a généré une longue suspension des activités jusqu’en mars 2021 et des réorientations ont été apportées à son contenu en décembre 2020, à l’occasion de la seconde réunion de son comité de pilotage.
Dans le cadre de ce second comité de pilotage, les autorités comoriennes ont exprimé le souhait d’être appuyées dans l’organisation d’un concours en vue du recrutement de 20 futur.e.s magistrat.e.s. Les épreuves du concours ont eu lieu entre mars et mai 2021, avec l’accompagnement d’experts français mobilisés par Expertise France. Outre les 20 auditeur.rice.s de justice retenu.e.s, auxquels s’ajoutent 2 auditeur.rice.s intégré.e.s sur titre (doctorat en droit), les 20 candidat.e.s arrivé.e.s à la suite ont été sélectionné.e.s pour devenir greffier.e.s.
Ce premier concours, fortement médiatisé, a suscité un enthousiasme important – liée notamment à une transparence généralement reconnue. Un des constats de cette première expérience a néanmoins été la faible diversité des lauréat.e.s en matière de genre et de provenance géographique, le second aspect ayant généré des tensions du fait de l’absence de lauréat.e.s issu.e.s de l’île de Mohéli.
Suite à cette désignation, le ministère de la Justice a sollicité l’appui de l’Ambassade de France pour financer la formation initiale des lauréat.e.s et organiser un nouveau concours. L’objectif du ministère est en effet de porter le corps des magistrat.e.s à 150 professionnel.le.s dans les prochaines années.
Présentation du projet
Le projet Mahakama Ya Wusawa s’inscrit dans la dynamique du projet de soutien à la justice financé par l’Ambassade de France et mis en œuvre entre 2019 et 2022 et dans la continuité des demandes du gouvernement de l’Union des Comores.
Sa mise en œuvre a commencé en juin 2022, pour une durée initiale de 26 mois (une extension de 6 mois a été signée le 18 juin 2024 portant la fin des activités du projet au mois de mai 2025). Son montant total est de 2,5 millions d’euros financés par l’AFD.
Les partenaires opérationnels et leur fonction dans le projet sont présentés dans le tableau ci-dessous.
Acteurs impliqués |
Fonction dans le projet |
Agence Française de Développement |
Financeur du projet dans le cadre du Plan de développement France-Comores (PDFC) |
> Agence de Moroni / Siège |
Superviser la gestion de la subvention. |
Ministère de la Justice |
Maître d’ouvrage du projet |
> Cellule de gestion du projet |
Coordonner l’ensemble des activités du projet et assurer la gestion administrative et financière de la subvention. |
> Coordination pédagogique |
Diriger les deux parcours de formation initiale, superviser l’organisation du deuxième concours de la magistrature et contribuer à la pérennisation des processus de formation. |
Université des Comores |
Opérateur pédagogique |
> Service Universitaire de Formation Permanente – SUFOP |
Déployer l’ensemble du dispositif pédagogique sur lequel repose la formation initiale et en garantir la qualité. |
Expertise France |
Opérateur d’assistance technique |
> Dispositif d’assistance technique |
Piloter et organiser, en lien avec le Coordonnateur national et le Coordinateur pédagogique, le déploiement de l’expertise internationale mobilisée sur les trois composantes du projet. |
> Unité Support Projet (USP) |
Mobiliser les moyens logistiques, administratifs, financiers et juridiques en appui au dispositif d’assistance technique. |
Ecole Nationale de la Magistrature |
Partenaire d’assistance technique |
> Département international |
Réaliser l’étude de faisabilité pour la pérennisation du dispositif de formation initiale des professionnels du droit, prévue dans la composante 3. Mobiliser l’expertise pour les formations continues. |
L’objectif général du projet Mahakama Ya Wusawa est de contribuer à soutenir durablement l’État de droit et l'administration de la justice pour les citoyens et citoyennes et opérateurs économiques en Union des Comores, grâce à au renforcement qualitatif et quantitatif des ressources humaines du secteur de la Justice.
Son objectif spécifique est de renforcer le secteur de la justice par le biais d’une meilleure gestion des ressources humaines nécessaires à son fonctionnement (adéquation entre les besoins et les effectifs, emplois et compétences) et s’articule autour des champs d’actions suivants.
Cet objectif spécifique est divisé en trois composantes (ou sous-effets), elles-mêmes subdivisées en produits.
Les cibles groupes cibles du projet sont le Ministère de la Justice, l’ensemble des juridictions de l’Union des Comores et le Service Universitaire de Formation Permanente (SUFOP). Les bénéficiaires finaux sont les usagers de la justice.
Le cadre logique et la théorie du changement du projet figurent en annexe (annexes 2 et 3).
Expertises attendues
Qualifications et expérience
Compétences métier :
Compétences administratives :
Compétences linguistiques :
Organisation attendue de l’équipe
L’évaluateur.rice pourra être un ou des évaluateur.rice.s indépendant.e.s et/ou une agence d’évaluateur.rice.s.
S’il s’agit d’une équipe d’évaluateur.rice.s, celle-ci devra proposer dans son offre une répartition des rôles et responsabilités tout au long du processus d’évaluation. Cette répartition sera discutée et validée lors de la réunion de démarrage.
Contenu des offres
Les offres devront inclure :
Modalités d’évaluation des offres (facultatif)
Expertise France sélectionnera l’offre qui présente la meilleure notation sur la base de la grille suivante :
Critère |
Pondération |
Qualité de l’offre technique |
30% |
Profil(s) proposé(s) |
50%* |
Coût de la prestation |
20% |
* Dans l’hypothèse d’une équipe de deux consultants, seul le profil de l’expert clé sera évalué au regard des critères demandés.
Le processus de sélection des candidats s'opérera selon le(s) critère(s) suivant(s) :
Document(s) joint(s) : 202411 Mahakama - TdR Evaluation finale MYW v.3.docx - DAJ_F043_v05 - Formulaire de candidature.docx - DAJ_M001_v06 - Lettre de consultation_.docx - DAJ_M002_v011 - Contrat d'achat simplifié.docx - DPGF - EVA FIN MYW.xlsx
Expertise France est l’agence publique de conception et de mise en œuvre de projets internationaux de coopération technique. L’agence intervient autour de quatre axes prioritaires :
Dans ces domaines, Expertise France assure des missions d’ingénierie et de mise en œuvre de projets de renforcement des capacités, mobilise de l’expertise technique et joue un rôle d’ensemblier de projets faisant intervenir de l’expertise publique et des savoir-faire privés.